" Je veux vivre " -​-​- Vari​é​té fran​ç​aise

by Auteur-Compositeur : Alain Daval - Tous droits réservés.

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1.
2.
Tes lèvres 01:40
Tes lèvres Douces aromatisées Ne font que m’inspirer Me donnent des idées Sans trêve Et rien que d’y penser Il me vient des envies De goûter à ton souffle Sucré. Tes lèvres Tes lèvres m’interpellent Quand je roule une gamme elles Me disent défense d’entrer. Tes lèvres Ta langue bien cachée Sont le fruit défendu Auquel je n’ai pu résister. Tes lèvres Deux perles de rosée Sont le fruit défendu Auquel je n’ai pu résister. *
3.
Je veux encore que la douceur de vivre l’emporte sur la mort Je veux plus fort que tes parfums m’enivrent ensoleillent ce décor Je veux encore le vent sur mon visage et ton souffle sur mon corps Je veux vivre. Je veux encore que tes éclats de rire brillent comme de l’or Je veux plus fort que tes mots me délivrent à la prochaine aurore Je veux encore ton parfum sur mes rives et ta peau sur mon corps Heureux jusqu’à l’autre bord. * Refrain : Je veux vivre je veux vivre et respirer encore Je veux vivre être ivre fermer les yeux pour voir un autre sort Je veux vivre Je veux vivre où les murs immobiles ne me broient pas le corps Heureux jusqu’à l’autre bord. * Je veux encore que la douceur de vivre l’emporte sur la mort Je veux plus fort m’échouer sur tes rives à la prochaine aurore Je veux encore que tes mots me délivrent de chaque mauvais sort Heureux jusqu’à l’autre bord. * Refrain 2 : Je veux vivre je veux vivre et espérer encore Je veux vivre être ivre échouer sur ton corps Je veux vivre être libre que nos vies immobiles trouvent un nouveau décor. Heureux jusqu’à l’autre bord… * Je veux encore que les flammes du désir consument nos deux corps Je veux si fort partir à la dérive vers de nouveaux trésors Je veux encore ton rire qui s’envole plus précieux que de l’or Heureux jusqu’à l’autre bord. * Refrain 3 : Je veux vivre je veux vivre finir échoué sur ton corps Je veux vivre être libre le crier à détruire la mort Je veux vivre je veux vivre que nos vies inutiles trouvent un nouveau décor. Je veux vivre je veux vivre sans peur et sans reproche Je veux vivre être libre pouvoir accélérer encore Je veux vivre je veux vivre où les murs immobiles ne me broient pas le corps Heureux jusqu’à l’autre bord.
4.
A travers 03:07
5.
J’aimerai l’espace d’un instant changer de peau changer de peau Retirer pour quelques secondes mes oripeaux mes oripeaux Changer de sexe et de couleur Pour bien apprendre ma leçon Écrire à la craie sur les murs des mots d’amour des mots d’amour. J’aimerais l’espace d’un instant Changer de camp changer de camp Autre nation autre drapeau sans jugement sans jugement Renaître au monde nu comme un ver Démuni comme au premier jour Et pouvoir peindre l’univers de mots d’amour de mots d’amour. * J’aimerais l’espace d’une seconde changer de sang changer de sang Lorsqu’il coule sur les mappemondes ou les écrans ou les écrans être un soldat un déserteur un enfant tombé sous les bombes Et balancer aux dictateurs des mots d’amour des mots d’amour. J’aimerais parfois changer de peau être un enfant être un enfant Retrouver le sourire idiot de l’innocent de l’innocent Courir jouer à la marelle se battre oui mais pour de faux Et dessiner sur tous les murs des mots d’amour des mots d’amour. *
6.
La vie en vrai C'est pas rien que d'la rigolade Des bouts d'récré Bousculé à coup de cartables Ça serait plutôt Une dictée qui durerait mille ans Y en a qui trouvent ça révoltant. * La vie en vrai C'est pas les cow-boys et les indiens C'est pas toujours le héros qui gagnera à la fin Ca s'rait plutôt La loi du plus fort qui domine Y parait qu'y en a qui s’indignent. * La vie en vrai C'est pas la farniente à volonté Les chants d'oiseaux les vagues turquoises L'éternel été. C'est le doux son De la pointeuse de l'usine Y parait qu'y en a qu'ça déprime. * La vie en vrai C'est pas toujours ce qu'on attendait C'est pas Byzance C'est un appartement à louer C'est pas en s'baissant Des lingots d'or et des pépites Y parait qu'y en a qu'ça irrite. * La vie en vrai C'est pas les p'tites femmes à volonté C'est pas Bysance C'est pas l'orgie tous les jours de l'année C'est ton absence C'est un tube entier d'aspirine Y parait qu'y en qui s'indignent. *
7.
Papillons 01:06
J’ai des papillons dans le cœur Des battements d’ailes à l’intérieur Je lève les sourc-il est là Son ombre se rapproche de moi. J’ai comme des fourmis sur ma peau Une aile de mésange sur mon berceau Sait-il l’effet qu’il me fait Sa main parfois frôle mon poignet. Transition : Doucement il effleure mon corps Je l’attends encore et encore… Refrain 1 : Je suis une jeune fille en Fleurs Un arc-en-ciel de couleurs Et si les Roses me montent aux joues Je l’aime un peu ou pas du tout. Je suis une jeune fille en Fleurs Jardin ouvert à l’intérieur Si ses lèvres ont le goût du ciel Les nuages s’effacent lorsqu’il m’appelle. * J’ai des papillons qui frétillent Des abeilles autour de moi butinent Mon cœur est un pot de miel Que sa langue goûte dans mon sommeil. J’ai comme des fourmis sur ma peau Une aile de mésange sur mon berceau Sait-il l’effet qu’il me fait Sa main parfois frôle mon poignet. Doucement il effleure mon corps Je l’attends encore et encore… Refrain 2 : Je suis une jeune fille en Fleurs Un arc-en-ciel de couleurs Et si les Roses me montent aux joues Je l’aime un peu ou pas du tout. Je suis une jeune fille en Fleurs Jardin ouvert à l’intérieur S’il sourit à mon réveil C’est Alice au pays des merveilles. * Puis Refrain Ad lib
8.
Je vois des natures mortes naître dans tes bras Mon amour que faire sans toi Si j’entrouvre les portes qui mènent jusqu’à toi Est-ce qu’un jour on se retrouvera C’est l’impossible combat. * Mais toi contre moi Mon amour Le fer et le froid Pour toujours. * Je revois les lueurs des notes qui s’étiolent Et qui fondent sous le combat Des inconnus qui viennent et qui frappent à ma porte Me disent de sourire que tout va bien Que ça ira mieux demain. * Mais que faire sans toi Mon amour ? Je pourrais bien t’attendre Pour toujours. * Je traîne dans les couloirs au hasard des portes Il arrive que je croise Des femmes sans visage qui tournent autour de moi C’est comme si elles n’existaient pas Transparentes à travers toi. * C’est toi contre moi Mon amour L’impossible combat Sans retour. Mets-toi contre moi Contre moi Contre moi Contre moi. *
9.
10.
Fini l'été 02:57
Le soleil couche Son auréole sur le papier Les brindilles craquent Et se brisent dessous mes pieds Le vent se lève Il s’était à peine calmé Le temps se couvre Fini l’été est terminé. Les douces larmes Coulent dessus mon visage fané Ne sont de peine Sont juste là pour terminer La saison morte Une autre va lui succéder Adieu l’été. Fini soleil Mers et jours à volonté Les rires blêmes Sous les vapeurs des eaux usées Fini l’amour Est parti sans se retourner Fini l’été. Le mois de novembre S'étiole doucement Toi ma douce et tendre … attends. Les rires clairs Et ta peau blanche sur la jetée Nos belles caresses Et nos étreintes inachevées L’année prochaine Si tout va bien on se le refait L’insouciance part Reste plus rien pour supporter Fini l’été. C’était si bien Si seulement je pouvais Rien qu’un instant Revivre mes tendres années Juste un beau rêve Est-ce que c’est vraiment arrivé ? Adieu l’été… Le mois de novembre S'étire doucement Toi ma douce et tendre … attends. Attends. *
11.
Dunes de sable Infranchissables Les rires et les regrets Semblent disparus. Dans le brouillard Percent les phares Falaises accrochées Au ciel suspendu. * 1er refrain : Les gens de bord de mer ne s’aiment plus Ils flottent solitaires Vers l’inconnu Les gens de bord de mer ne sèment plus Que des fleurs d’éphémères Paradis perdu. * 2eme couplet : Au flanc des dunes Plongent les brumes Frontières imaginaires Posées sur les rives. A marée basse Se traînent les carcasses Echouées sur la grève Des horizons déchus. * 2eme refrain : Les gens de bord de mer ne rêvent plus Ils traînent en solitaire Vers l’inconnu Les gens de bord de mer ne sèment plus Que des graines éphémères Paradis perdu. Les gens de bord de mer sont dérisoires Ils flottent à la dérive et rentrent tard Les gens de bord de mer ne sèment plus Que le vague souvenir d’un Paradis perdu. * Les yeux dans le vague Noyées les larmes Les algues et les embruns Ferment les issues. Sous le ressac Des entrelacs Epaves échouées Des horizons perdus. * 3eme refrain : Les gens de bord de mer n’espèrent plus Ressassent leurs espoirs Sans issue Les gens de bord de mer ne rêvent plus Sur l’eau flotte des airs de Paradis perdu. Les gens de bord de mer sont dérisoires Ils traînent à la dérive et rentrent tard Les gens de bord de mer ne sèment plus Que le vague souvenir d’un Paradis perdu. *
12.
Milliards 02:50
J’entends dire que toute espérance est bannie Que la vie d’un gauche te mettra au tapis Comme un sport de combat une prise de Krav maga Un high kick plus rapide qu’une supernova. J’entends dire que toute morale est à proscrire Que la loi du plus fort dicte la conduite Qu’il faut être un champion pour gagner des millions Ecraser les rivaux à coup de talon. * Refrain 1 : Mais je sème des millions de milliards De graines porteuses d’espoir qui germent au hasard Et je lance des bouteilles à la mer Des refrains éphémères porteurs d’espoir. * J’entends dire que partout s’envole l’espoir Qu’un sourire est une arme bien dérisoire Qu’il faudra être dur pour vaincre la nature Et se faire une place à coup de rasoir. J’entends dire la vie est un sport de combat Une lutte permanente à celui qui pourra Survivre dans les ruelles le béton nous entraîne Vers la fin de cette folie inhumaine. * Refrain 2 : Mais je sème des millions de graines Dans les champs du savoir désarmer les trottoirs Et je lance des bouteilles à la mer Comme autant de prières porteuses d’espoir. * J’entends dire qu’autour de moi plus rien ne va Que la vie a déjà gagné le combat Une morsure de jaguar un trois bande au billard Une maîtresse qui s’achète à coup de dollars. * Refrains Fin : Mais j’allume des millions de milliards De lucioles dans le noir porteuses d’espoir Et je sème des milliers de rimes à l’encre indélébile dans les esprits fertiles. mais Je suis libre de semer des milliards De mots porteurs d’espoir qui germent sur les trottoirs Je suis libre de rire et de danser Avec moi des milliers de lanceurs d’espoirs. car Je suis libre de lancer à la mer Des bouteilles éphémères comme autant de prières Je suis libre de tracer mon sillon Pour planter des millions de paroles d’espoir. * * *
13.
Dans les parkings Sous les flancs des buildings Les avenues sont vides Il n’y a plus personne Soleil couchant Evanoui sous les dunes En bordure des lagunes Il n’y a plus personne. * Sur les parvis Des monuments brisés Des lueurs irisées il n’y a plus personne Sous les embruns Dans les cornes de brume Les tourbillons d’écume Il n’y a plus personne. * Le monde semble vide quand tu n’es plus là Ton souffle et ta peau glissent sous mes pas. * Sous les vies blêmes Des plaisirs défendus Le fil est suspendu Il n’y a plus personne Sous les aurores Des champs vierges en pâture Comme une frêle écriture Il n’y a plus personne. * Le monde semble vide si tu n’es plus là Je marche parmi des débris de souvenirs Tout est dépeuplé quand tu n’es plus là Au milieu des décombres j’entends ton rire. * Sous les pas lourds Des gravats de poussière Dans l’éternel hiver Il n’y a plus personne Sous les nuages Traînées noires de suie Les survivants oublient Qu’il n’y a plus personne. * Tout est dépeuplé si tu n’es plus là Ta peau nue ta voix etcetera Le monde semble vide quand tu n’es plus là Huit milliards d’humains oui mais sans toi. * Dans l’air résonnent Quelques notes de musique Comme une vaste supplique Il n’y a plus personne.
14.
Allongé dessous les fenêtres de ma vie J’attendrai que tu me reviennes Je t’en prie reste à l’abri Sous les étoiles sous les étoiles. * Allongé dessous les fenêtres de l’oubli J’attends qu’on m’ouvre ou qu’on me retrouve Je sais qu’on est attendu Sous les étoiles Sous les étoiles. * Refrain : Alors pose ta tête sur mon épaule Et si nos peaux se frôlent Je ne pourrai plus dire un mot. Pose ta tête sur mon épaule Et si tu trouves ça drôle Il y a des chances qu’on s’affole. * Allongé dessous les fenêtres de ma vie J’attends qu’on m’ouvre ou qu’on me retrouve Je t’en prie trouve un abri Sous les étoiles sous les étoiles. * Refrain : Alors Pose ta tête sur mon épaule Et si ta peau me frôle Je ne pourrai plus dire un mot. Pose ta main sur mon épaule Et si l’amour nous frôle Il y a des chances qu’on s’affole. * Allongé dessous les fenêtres de ma vie J’attendrais que tu me reviennes Lentement nos ailes déployées Sous les étoiles sous les étoiles. * Refrain : Alors Pose ta tête sur mon épaule Et si l’amour nous frôle Je ne saurais plus faire un seul geste Pose ta main sur mon épaule All is under control Y’a des chances qu’on s’affole. Pose ta tête sur mon épaule Et si la mort nous frôle C’est qu’elle nous envie Pose ta main sur mon épaule Et si l’amour nous frôle Y’a des chances qu’on s’affole. **
15.
Refrain : Nous sommes tels des bateaux qui dérivent Brûlés sous le feu des projecteurs Le regard rivé vers l’autre rive Un espoir un rêve, un ailleurs. Nous sommes tels des voiliers qui dérivent Accrochés aux sirènes d’argent Leurs chants qui nous guident vers l’autre rive Envoûtés par les parfums d’argan. * Couplet : Si nous posions pour quelques heures Tous nos doutes et toutes nos douleurs Pour repartir le cœur vaillant Pas après pas, obstinément. * Nous sommes tels des bateaux immobiles Brûlés sous les feux des projecteurs Nous sommes tels des acteurs fragiles Sur la scène d’un écran en couleur. Nous sommes tels des navires sans but Emportés par des flots de hasard Fragiles Acrobates suspendus Accrochés aux cordes des guitares. * Si nous posions pour quelques heures Nos artifices et nos douleurs Masques baissés sourire devant Légers comme l’air jusqu’au firmament. * Nous sommes tels des voiliers qui dérivent Noyés sous le flot des projecteurs Nous sommes telles des strophes du bateau ivre Sensations inondées de couleurs. Nous sommes tels des navires sans voile Ballottés au gré des courants d’air Nous sommes telles des poussières d’étoiles Regroupées au milieu d’un désert. * Nous sommes tels des navires sans voile Dérivant au gré des tourbillons Nous sommes telles des coquilles de noix vides Emportées par le flot d’un torrent. Nous sommes tel un bateau qui dérive Amarre cassée, gouvernail en berne Attendant un signe de l’autre rive Un éclair un nuage un repère. * Abandonnons dans nos sillages Nos peurs et nos manques de courage La proue pointée vers l’horizon Pas après pas nos vies refleuriront.
16.
Car je suis telle une étoile fuyante Un parfum qui aussitôt s’absente Un éclair une ombre sur les murs Soupir insaisissable un murmure Mais je suis une étoile fuyante Souvenir d’une passion troublante Un fantôme délivré de ses chaînes Un couplet une prose un poème * A peine posée je m’enfuis Sous d’autres latitudes Souvent pressée je m’ennuie Bourrée de certitudes A peine posée je m’enfuis Je joue la fille de l’air Je ne suis qu’un amour Passagère * Car je suis telle une étoile fuyante Un soupir une vague une déferlante Un rivage sous la marée montante Engloutie sous les flots je m’absente Mais je suis une étoile fuyante Souvenir qui aussitôt s’absente Un soupir une larme évaporée Un good bye au revoir sans regret * A peine posée je m’enfuis Sous d’autres latitudes Souvent pressée je m’ennuie Bourrée d'incertitudes A peine posée je m’enfuis Sous d’autres latitudes Souvent pressée je m’ennuie Bourrée d’incertitudes * Car je suis telle une étoile fuyante Qui répond aux abonnées absentes Un oubli une passion une romance Ma plus grande qualité c’est l’absence Mais je suis une étoile fuyante Un parfum une passion troublante Un oubli un tag sur ton mur Une larme un parfum un murmure Une larme un parfum un murmure *
17.
J’ai survécu aux chaleurs étouffantes J’ai survécu aux cruels hivers J’ai survécu à l’automne qui vous hante J’ai survécu aux vents qui vous transpercent J’ai survécu aux crachats des passants J’ai survécu aux épaules qui bousculent J’ai survécu à mille poings dans la gueule J’ai survécu, moi, fourmi minuscule J’ai survécu au sommet des montagnes J’ai survécu tout au fond des nuits sales J’ai survécu sans étoiles et sans lune J’ai survécu enterré sous les dunes +J’ai survécu aux pires atterrissages J’ai survécu même à l’alunissage J’ai survécu aux milliards de comètes J’ai survécu destruction de planètes J’ai survécu aux disputes des amants. J’ai survécu aux rires des enfants J’ai survécu à mon adolescence J’ai survécu aux flammes incandescentes +J’ai survécu explosion nucléaire J’ai survécu aux balles des snipers J’ai survécu, c’est peut-être un miracle J’ai survécu telle une croute que l’on racle. J’ai survécu aux prédictions maudites J’ai survécu aux fausses promesses écrites J’ai survécu aux mensonges, trahisons J’ai survécu aux barreaux des prisons J’ai survécu sans air, sans oxygène J’ai survécu dix mille lieues sous les mers J’ai survécu emmuré dans ma haine J’ai survécu au milieu d’un cimetière + J’ai survécu aux extinctions massives J’ai survécu aux volcans qui s’agitent J’ai survécu aux tremblements de terre J’ai survécu, voilà la belle affaire J’ai survécu, je ne sais pas comment J’ai survécu, coup de bol, coup de chance J’ai survécu, à présent c’est ton tour J’ai survécu à toi, cherche l’amour J’ai survécu au béton, aux voitures J’ai survécu aux longues nuits de bitures J’ai survécu aux ambiances sordides J’ai esquivé les gouttes de pluie acide J’ai survécu quel miracle indicible J’ai survécu, peau tannée comme du cuir. J’ai survécu ah la belle aventure J’ai survécu, est-ce qu’il vaut mieux en rire. **

about

contact : zingenor@googlemail.com - 06 15 48 63 36

credits

released May 7, 2020

Auteur-Compositeur : Alain Daval
Guitare : Pascal Poussin - Alain Daval
Mixage : Marymix
Basse : Olivier Caillaba

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